Seconde Guerre mondiale - Sources et témoignages

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39-45, une guerre inconnue
- Paul-Marie de La Gorce
- 2012, Nouveau Monde
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Ce livre est une exploration des choix stratégiques faits par les deux camps à chaque étape de la guerre. Elle conduit à de nouveaux éclairages qui surprendront et parfois stupéfieront de nombreux lecteurs, sur quelques-uns des événements principaux des années 1939-1945 : les projets franco-anglais de guerre contre l'Union soviétique en 1940, les pressions et manœuvres des dirigeants britanniques partisans d'un arrangement avec l'Allemagne, la fascination exclusive que la guerre à l'Est exerçait sur Hitler. Mais aussi la mise en échec par Roosevelt des négociations avec le Japon, l'engrenage qui conduisit les Alliés à retarder le débarquement en France jusqu'en 1944, les fautes de commandement qui les empêchèrent de gagner la guerre cette année-là... Ceux qui pensaient qu'il n'y avait plus rien à apprendre sur le second conflit mondial seront heureusement détrompés : en dépit des milliers d'ouvrages et de témoignages déjà parus, mais surtout grâce à l'ouverture des différentes archives dans tous les pays, il est enfin possible de procéder à une relecture complète et critique de cette guerre, dont on pourrait croire, au fond, qu'elle était inconnue...
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Agent secret de Churchill
- Bob Maloubier
- 2011, Tallandier
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Agent secret de Churchill pendant la guerre, saboteur, père des nageurs de combat français, forestier et pétrolier en Afrique, acteur du dernier film de Jean-Luc Godard : Robert, dit « Bob » Maloubier, 87 ans, a traversé le XXe siècle comme un aventurier. Bob Maloubier, c’est aussi une gueule. Une « grande gueule », glissent ses rares détracteurs. Moustache blanche façon major des Indes, œil pétillant, blazer bleu marine avec le blason du Special Boat Service (nageurs de combat britanniques) dont il est breveté, insigne des nageurs de combat français au cou. Il nous raconte aujourd’hui ses deux années épiques passées au sein de la section française du Special Operations Executive (SOE), créé par Winston Churchill en juillet 1940, pour effectuer les sabotages et opérations spéciales contre les troupes allemandes en France occupée. Engagé dans le SOE à 19 ans, il a vécu l’Exode, les blessures, les prisons allemandes, une évasion de Bizerte envahi par l’Afrika Korps, l’assassinat de l’amiral Darlan par son ancien camarade de lycée Fernand Bonnier de la Chapelle... Il quitte l’armée britannique avec le grade de capitaine et la prestigieuse décoration Distinguished Service Order, accordée seulement à une soixantaine de Français pendant la guerre. Avec plein d’émotion, de verve et de faconde, il nous plonge ainsi dans le bain de l’époque, où coups tordus et héroïsme se mêlent, et dans la peau de ces combattants de l’ombre. On pourrait croire à un roman. C’est pourtant l’histoire vraie d’un héros de la guerre, l’un des deux derniers survivants du SOE.
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Ainsi fut Auschwitz
- Primo Levi
- 2019, Les Belles Lettres
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Les vérités les plus précises — et les plus terribles, tant elles sont précises — sur la machine d’extermination. Quarante ans de témoignages, en grande partie inédits, d’une importance historique essentielle. En 1945, au lendemain de la libération, les militaires soviétiques qui contrôlaient le camp pour anciens prisonniers de Katowice, en Pologne, demandent à Primo Levi et à Leonardo De Benedetti, son compagnon de détention, de rédiger un compte rendu détaillé sur les conditions sanitaires du camp. Le résultat est le Rapport sur Auschwitz, un témoignage extraordinaire, l’une des premières descriptions sur les camps d’extermination jamais élaborées. Publiée en 1946 dans la revue scientifique Minerva Medica, elle inaugure l’œuvre à venir de Primo Levi, témoin, analyste et écrivain. Dans les quatre décennies suivantes, Levi ne cessera jamais de raconter son expérience du Lager dans des textes de nature différente, qui, pour leur grande majorité, n’ont jamais été publiés ensemble. Des recherches entamées très tôt par Levi sur le destin de ses compagnons à la déposition pour le procès Eichmann, en passant par la « lettre à la fille d’un fasciste qui demande la vérité » et les articles parus dans des quotidiens et des revues spécialisées, Ainsi fut Auschwitz est une mosaïque de souvenirs et de réflexions critiques d’une valeur historique et morale inestimable. Un recueil de témoignages, d’enquêtes et d’analyses approfondies qui, grâce à la cohérence, à la clarté de son style, à la rigueur de sa méthode, nous rendent le Primo Levi que nous avons appris à reconnaître comme un auteur classique de la littérature italienne.
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Alias Caracalla
- Jean-Claude Perrot
- 2011, Gallimard
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«Voici donc, au jour le jour, trois années de cette vie singulière qui commença pour moi le 17 juin 1940, avec le refus du discours de Pétain puis l'embarquement à Bayonne sur le Léopold II. J'avais 19 ans. Après deux années de formation en Angleterre dans les Forces françaises libres du général de Gaulle, j'ai été parachuté à Montluçon le 25 juillet 1942. Destiné à être le radio de Georges Bidault, je fus choisi par Jean Moulin pour devenir son secrétaire. J'ai travaillé avec lui jusqu'à son arrestation, le 21 juin 1943. Ces années, je les raconte telles que je les ai vécues, dans l'ignorance du lendemain et la solitude de l'exil. J'ai choisi pour cela la forme d'un "journal", qui oblige à déplier le temps et à fouiller dans les souvenirs. Les conversations que je relate ont pris spontanément la forme de dialogues. Qu'en penser après tant d'années? J'ai trop critiqué les souvenirs des autres pour être dupe de mes certitudes : là où finissent les documents, commence le no man's land du passé, aux repères incertains. Mais s'il est dans la nature d'un témoignage d'être limité, il n'en est pas moins incomparable : instantané du passé, il permet de faire revivre les passions disparues. J'ai consacré beaucoup de temps et de soins à traquer la vérité – elle seule donne un sens à une telle entreprise – pour évoquer le parcours du jeune garçon d'extrême droite que j'étais, qui, sous l'étreinte des circonstances, devient un homme de gauche. La vérité est parfois atroce.» Daniel Cordier. Date de première édition : 2009
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Anus mundi
- Wieslaw Kielar
- 2020, Les Belles Lettres
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Anus mundi, l’anus du monde : un médecin SS avait ainsi qualifié le camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz. Un homme a vécu là durant cinq années et raconte ce qu’il a vu. Arrivé avec les 728 premiers déportés politiques polonais le 14 juin 1940, Wieslaw Kielar (1919-1980) sera à la fois le témoin et la victime des punitions arbitraires qui rythment la vie du camp. Il détaille la terrible hiérarchie installée par les nazis entre les prisonniers, le développement du camp, les nouveaux arrivants, la routine des exécutions qui vont s’accélérer durant la dernière année de sa détention. Tout est décrit aussi objectivement que possible. Son témoignage a la précision d’une mémoire qui a été marquée au fer rouge de l’horreur et qui ne peut oublier ni les potences, ni les coups, ni l’entassement des morts, ni les SS, ni « l’organisation », c’est-à-dire la vie quotidienne dans l’enfer. La vérité modeste qu’il transmet fait de son récit un document irremplaçable pour l’Histoire. Il nous est parvenu au moment où de nouvelles générations ignorantes des faits qu’il rapporte ont pu douter de leur réalité, tant ils sont incroyables. Le général Eisenhower l’avait prévu en termes crus : « Écrivez, photographiez, filmez » avait-il dit aux journalistes présents lors de la libération des camps de concentration : « Dans cinquante ans il se trouvera des bâtards pour dire que tout ceci n’a jamais existé ! » Qui aura suivi « la lente descente de Kielar dans les ténèbres concentrationnaires » ne pourra toutefois plus oublier.
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Avez-vous vu Hitler ?
- Walter Kempowski
- 2014, Nouveau Monde
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Dans les années 1970, Walter Kempowski a posé dans son entourage une question simple et factuelle : « Avez-vous vu Hitler ? » Son enquête s’est animée d’une vie propre et il l’a poursuivie, jusqu’à interroger plusieurs centaines de personnes au gré de ses rencontres. Elle déboucha sur ce livre, qui connut de nombreuses éditions et fut un best-seller en Allemagne. Voici donc les réponses d’Allemands et d’Allemandes anonymes de toutes origines, tous âges, toutes appartenances sociales, qui, en quelques phrases, racontent où et comment ils ont vu Hitler, entre le début des années 1920 et 1945. On y saisit des bribes fortuites de ses débuts obscurs, on le voit devenir l’homme politique omniprésent des campagnes électorales incessantes sous la république de Weimar et enfin un dictateur triomphant jusqu’à la guerre. On y découvre comment les Allemands ont vécu cette époque et comment ils vivent avec son souvenir dans les années 1970. En donnant leur réponse, sans en avoir l’air, ils en disent long sur eux-mêmes.
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Bir Hakeim
- Pierre Koenig
- 2022, Nouveau Monde
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Mai 1942. Dans le désert libyen, à Bir Hakeim, débute une bataille opposant les troupes germano-italiennes de l’Axe à la 1re brigade française libre du général Koenig. Quinze jours durant, l’Afrika Korps d’Erwin Rommel fait face à une résistance acharnée des combattants de la France Libre. Venus de tous les territoires de l’empire, les hommes de Bir Hakeim incarnent la mosaïque ethnique qui le compose : Noirs, Malgaches, Nord-Africains, Polynésiens, Néo-Calédoniens, Français du Levant, de la métropole, légionnaires de toutes nationalités. Leur défense héroïque de la position française va mettre un terme à l’avancée des forces de l’Axe vers l’Égypte, et changer le cours de la guerre du désert en rendant possible, quelques mois plus tard, la victoire de la 8e armée britannique à El Alamein. Plus qu’une victoire, la bataille de Bir Hakeim a permis la reconnaissance par les Anglo-Saxons du général de Gaulle et de ses hommes comme des alliés à part entière. Si elle a assuré la gloire de Koenig, elle a aussi révélé une génération de jeunes chefs devenus des figures emblématiques de la France Libre : Dimitri Amilakvari, Gabriel Brunet de Sairigné, Jean-Claude Laurent-Champrosay, Hubert Amyot d’Inville, Félix Broche, Jacques Savey. En faisant le récit jour après jour de ce haut fait d’armes, Koenig restitue toute la force de l’engagement de ces hommes qui ont donné au monde, selon les mots de Malraux, « la preuve que la France n’était pas morte ». Conscient de la portée stratégique de la victoire, le général de Gaulle télégraphiait le 10 juin au « vainqueur de Bir Hakeim » : « Général Koenig, sachez que toute la France vous regarde et que vous êtes son orgueil. »
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Bréviaire pour Mauthausen
- Pierre Daix
- 2005, Gallimard
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Mauthausen, créé comme camp de concentration pour « irrécupérables » dès l'annexion de l'Autriche par Hitler, servit d'abord à exterminer des Tsiganes, des Juifs, des antifascistes autrichiens. Les nazis y envoyèrent fin 1939 des milliers d'officiers polonais ; après la défaite de la France, autant de républicains espagnols, encore plus de prisonniers soviétiques, des résistants tchécoslovaques, enfin de grands convois de Français en 1943 et surtout 1944. À partir de 1943, Mauthausen travaillant pour l'industrie de guerre, ses kommandos s'étendirent sur toute l'Autriche jusqu'en Croatie. En six ans, on y dénombra plus de 150 000 morts. Arrivé en mars 1944, Pierre Daix connut d'abord la célèbre carrière du camp, puis, parlant allemand, entra dans l'administration et l'organisation de résistance dont il retrace ici le développement et rend hommage à ses créateurs, les Espagnols, dont il avait rassemblé les témoignages dans Triangle bleu en 1969. Il la montre aux prises avec les drames de la fin du camp : l'arrivée des évacués d'Auschwitz, l'évasion collective des Soviétiques du sinistre « block 20 », pour en venir au chaos d'une libération impréparée par les Alliés qui coûta des centaines de morts en trop. Il confie à l'Europe le soin d'en tirer les leçons.
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Carnets du chef des services secrets
- Louis Rivet
- 2010, Nouveau Monde
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Jamais le « journal de bord » du général Louis Rivet n'avait, jusqu'à présent, été livré au public. Rédigés par le chef des services spéciaux français entre 1936 et 1944, ces carnets sont restés inédits depuis la Libération. Exceptionnels, ils plongent le lecteur au cœur du secret d’État. Pendant huit années, presque chaque jour, Louis Rivet y a consigné ses impressions, relaté les entrevues et mentionné les renseignements obtenus ; confidentielles, certaines de ses informations provenaient de « sources » installées au cœur de l'appareil d'État nazi. Aujourd'hui publiés dans une édition critique et annotée, les carnets de Louis Rivet présentent l'histoire du second conflit mondial sous un jour nouveau. Des personnalités célèbres y croisent des figures moins connues ou anonymes du renseignement français et européen. On y rencontre Léon Blum, Édouard Daladier, le maréchal Pétain, Pierre Laval, le général de Gaulle. Et on redécouvre les figures des grands responsables politiques et militaires de cette époque troublée, fondatrice de la France des IVe et Ve Républiques. Ces carnets font entrevoir les liens très complexes, parfois ambivalents, qui unissent les services spéciaux au pouvoir politique. Ils dévoilent l'enchaînement des crises, le jeu des coopérations entre les services d'espionnage des grandes puissances, les champs de bataille de la guerre secrète européenne, et ouvrent ainsi de nouvelles perspectives pour l'histoire du renseignement au XXe siècle.
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Carnets secrets du général Patton
- George Patton
- 2011, Nouveau Monde
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Rares sont les chefs de guerre qui ont suscité autant de ferveur et de haine, recueilli autant d’honneurs et provoqué autant de controverses que le général George Patton. Chef de la légendaire Troisième Armée, Patton est souvent décrit comme un leader tyrannique et mégalomaniaque, flirtant parfois avec la folie. Les archives et notes personnelles du général permettent d’en brosser un portrait bien plus nuancé. Elles éclairent d’abord la période la moins connue de la vie de Patton – son enfance, son séjour à West Point, la traque de Pancho Villa et les batailles de 1917 dans la Somme et en Champagne. Puis, on entre de plain-pied dans les opérations de la Seconde Guerre mondiale : la Tunisie, la Sicile, la France et l’Allemagne. Ses notes, lettres et journaux intimes permettent de suivre ses pensées et impressions jour après jour, ses « coups de gueule » autant que son génie tactique. Ces documents nous donnent accès à un être bien plus complexe qu’on l’imagine, tourmenté par le doute, exalté par la guerre et toujours volontaire pour aller au combat. Date de première édition : 1975.
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Croisade en Europe
- Dwight D. Eisenhower
- 2013, Nouveau Monde
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Ces mémoires de guerre dévoilent l’histoire intégrale du débarquement en Europe, tel que le vécut le commandant en chef des forces alliées, le général Dwight D. Eisenhower. Ils offrent une vue d’ensemble de la « croisade » des Alliés contre l’Allemagne nazie, destinée à faire triompher les valeurs de la paix et de la démocratie. Le futur président des États-Unis y révèle ses aspects techniques, politiques et humains, de la conception des opérations aux entrevues entre les chefs d’État. Avec lui, nous découvrons comment furent organisés les ravitaillements et les mouvements de troupes sur un gigantesque front allant, pour la première fois dans l’histoire, des Carpates à Gibraltar. Nous pénétrons dans les conseils de l’État-major suprême et apprenons les véritables raisons des campagnes militaires comme des divergences entre les forces alliées. Ce faisant, « Ike » livre une série de portraits intimes de Roosevelt, Churchill, de Gaulle et Marshall, ainsi que des grands généraux américains et britanniques qui servirent sous ses ordres. Il reste cependant toujours exact, précis et nuancé, utilisant ses agendas tenus pendant le conflit et sa prodigieuse mémoire pour raconter en détail les péripéties de cette immense lutte. Eisenhower réalise ici une œuvre d’historien, tout en racontant le déroulement d’une victoire dont il est le propre auteur. Son récit demeure aujourd’hui le témoignage le plus important sur la Seconde Guerre mondiale. Date de première édition : 1949.
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De Londres à Moscou
- Joachim von Ribbentrop
- 2014, Nouveau Monde
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Ministre des Affaires étrangères de l’Allemagne hitlérienne, Joachim von Ribbentrop dirigea l’ensemble du système diplomatique du IIIe Reich, de 1938 à son arrestation en 1945. Souvent critiqué par les hauts diplomates et les dignitaires nazis pour son incompétence, il bénéficie de la protection du Führer qui voyait en lui un « nouveau Bismarck ». Il fut lui-même un partisan servile d’Adolf Hitler et un acteur majeur de sa politique d’expansion. Rédigés peu avant son exécution en 1946, ses mémoires sont avant tout un plaidoyer pour son action et celle du Führer, qu’il présente comme le seul homme capable d’apporter un nouveau rayonnement au Reich allemand et de bâtir une Europe pacifique. Ils n’en constituent pas moins une source unique pour la compréhension de la diplomatie hitlérienne et de la politique étrangère de l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, de la conquête de l’espace vital à la solution finale. Date de première édition : 1954.
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Et la lumière fut
- Jacques Lusseyran
- 2008, Éditions du Félin
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En 1940, la France capitule. En 1941, Jacques Lusseyran, alors qu’il est aveugle et n’a pas 18 ans, entre en résistance en rejoignant le mouvement Défense de la France. Le 20 juillet 1943, il est arrêté par la Gestapo, interrogé pendant des jours interminables et enfermé à Fresnes. Il sera déporté en 1944 à Buchenwald. Comment un aveugle peut-il survivre à cet enfer ? Grâce à la protection d’un groupe de Russes et à sa connaissance de l’allemand qui lui permettra d’informer les autres déportés des agissements des S.S. Après un an et demi d’horreur, il est libéré et revient en France où il poursuivra ses études en affirmant ses aspirations littéraires balayées par la guerre. Cette autobiographie est un exceptionnel exemple d’amour de la vie, de courage et de liberté intérieure face à l’adversité.
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Grandeur et Misère de l’Armée rouge
- Jean Lopez and Lasha Otkhmezuri
- 2011, Seuil
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La guerre entre l’Allemagne nazie et l’Union soviétique, le plus grand théâtre d’opérations de la Seconde Guerre mondiale, fut élevée au rang de mythe par Staline au prix d’innombrables mensonges. Cet ouvrage rassemble les témoignages récents de vétérans de cette « Grande Guerre patriotique », ainsi que les Russes l’appellent encore aujourd’hui. En 1941, ces témoins étaient des citoyens ordinaires. Ils racontent l’horreur de ce conflit et écornent l’image du « peuple héros » : les collaborateurs, délateurs et tortionnaires au service des nazis, l’irresponsabilité, l’alcoolisme, le vol généralisé, le mépris de la vie du soldat, la réalité des viols de masse commis en Allemagne. Pourtant, même au milieu du pire, ils ont croisé des hommes et des femmes dont le courage et l’humanité leur ont permis de supporter des épreuves inimaginables en Occident. Après la guerre, certains témoins ont choisi la dissidence, d’autres ont été marginalisés parce qu’ils étaient juifs, la majorité s’est réinsérée dans le système soviétique. Aujourd’hui, presque tous ont rompu avec le mythe de la Grande Guerre patriotique et sont parvenus à faire le tri entre la gloire et l’infamie, le massacre et le sacrifice, l’héroïsme et la survie.
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Histoire d'un soldat
- Omar N, Bradley
- 2014, Nouveau Monde
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Du débarquement en Normandie à la jonction avec l’armée Rouge en Allemagne, le général américain Omar Bradley a joué un rôle considérable durant la reconquête de l’Europe face au IIIe Reich. Écrits peu après la fin du conflit, ses mémoires nous révèlent les coulisses des opérations alliées face aux armées de l’Axe. Nous y découvrons les stratégies militaires du haut commandement mais aussi la réalité des champs de bataille, et le quotidien des soldats comme celui des grandes figures de la guerre (telles que Patton, Montgomery ou Eisenhower). Omar Bradley a voulu nous faire revivre la Seconde Guerre mondiale au plus près, en n’omettant aucun échelon militaire ni les difficultés qu’il a rencontrées. Aussi intéressant d’un point de vue stratégique que de celui du quotidien des armées, cet ouvrage constitue un témoignage unique, celui d’un tacticien hors pair surnommé « le général des soldats » pour sa compassion envers ses troupes. Date de première édition : 1952.
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Histoire de la Première armée française
- Jean de Lattre de Tassigny
- 2015, Nouveau Monde
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70 ans après la capitulation des Allemands, le récit de l’ancien commandant en chef de la Première armée française est essentiel pour comprendre la part militaire prise par la France à la victoire des alliés en Europe, des plages de la Provence jusqu’en Bavière et en Autriche. La Première armée a pour particularité de réaliser l’amalgame entre les unités débarquées d’Afrique et d’Italie et quelque 130 000 FFI qui se sont joints au combat pour la libération de l’Europe. De Lattre, né en février 1889, est lieutenant de cavalerie pendant la Première Guerre mondiale. Dans l’entre-deux-guerres, il devient le plus jeune colonel, puis le plus jeune général de l’armée française. En 1940, il bat les Allemands à Rethel. Arrêté et condamné à 10 ans de prison, il s’évade en 1943 et rejoint l’Algérie où il prend le commandement de la Première armée. Il s’empare d’Elbe et débarque en Provence en août 1944. La Première armée libère 25 départements et sauve la ville de Strasbourg. Le 8 mai 1945 à Berlin, Jean de Lattre signe au nom de la France l’acte de capitulation de l’Allemagne. En 1949, il est le premier Commandant en chef des armées de Terre d’Europe occidentale. En 1950, il est nommé Haut-Commissaire de France en Indochine. Il meurt en janvier 1952. Cette histoire centrée sur les hommes est enrichie par les souvenirs et archives personnelles d’un grand chef militaire de la Seconde Guerre mondiale. Longtemps indisponible, ce grand classique (au même titre que les mémoires de Patton, Eisenhower ou Rommel, disponibles dans la même collection) garde toute sa force et sa valeur historique. Date de première édition : 1949.
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Hitler parle à ses généraux
- Paul Villatoux
- 2013, Nouveau Monde
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À partir de 1942, Hitler décida de faire consigner les débats qu’il avait depuis 1940 avec ses chefs militaires sur les opérations de guerre. Lors de la débâcle de 1945, ces archives furent incinérées, mais une cinquantaine de rapports échappèrent à la destruction. La sélection des moments les plus significatifs aboutit à cet ouvrage étonnant par lequel on entre de plain-pied dans la machinerie nazie. On y découvre les méthodes de commandement de Hitler, l’atmosphère de son QG, l’attitude de son entourage et certains projets, comme celui, à l’approche de la défaite italienne, d’occuper le Vatican et de faire prisonnier le pape. Sans cette source inégalable, il serait impossible de distinguer les responsabilités de Hitler de celles de ses principaux généraux dans la poursuite de la guerre. Ces comptes rendus sont d’autant plus importants qu’on n’a longtemps décrit Hitler en tant que chef de guerre qu’à travers leurs récits. Or on découvre ici un coup d’œil et un instinct de la manœuvre, une maîtrise de la littérature et de la théorie militaires. Au passif, on mesure l’étendue de son ignorance des règles d’un état-major, sa défiance envers ses propres généraux, qui finit par empêcher tout débat. Aux erreurs de manœuvre s’ajoutent aussi des ingérences tactiques de plus en plus fréquentes, basées sur des souvenirs de la Première Guerre mondiale, d’où des dialogues parfois absurdes. Ces rapports journaliers offrent une image saisissante du déclin de l’Allemagne nazie et de l’enfermement d’Hitler dans son bunker. À côté de la voix de Hitler retentissent celles de ses collaborateurs directs (Keitel, Jodl…) et des pontes du régime (Goering, Himmler…) débattant des moyens d’échapper à l’abîme qu’ils ont eux-mêmes creusé.
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Ils étaient 1038
- Jean-Christophe Notin
- 2019, Tallandier
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Ils étaient 1 038. Étudiants, fonctionnaires ou militaires en 1940, de Gaulle les reconnaît à partir de 1941 comme ses Compagnons pour la Libération de la France « dans l’Honneur et par la Victoire ». Parmi eux, des personnalités emblématiques, Pierre Messmer, Jacques Chaban-Delmas ou Pierre Clostermann, mais aussi d’illustres inconnus. Patiemment réunis par Jean-Christophe Notin, les témoignages s’enchevêtrent, indissociables de l’histoire globale de la Seconde Guerre mondiale, et prennent enfin la place qu’ils méritent, sur le devant de la scène – car le message des Compagnons, celui de l’engagement au service d’une cause jugée supérieure, doit leur survivre.
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J'ai payé Hitler
- Fritz Thyssen
- 2019, Nouveau Monde
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Friedrich Thyssen (1873-1951) fut l’un des plus grands industriels allemands de son temps. Aujourd’hui encore, l’empire sidérurgique bâti par son père règne en France et partout dans le monde. Pourtant, ce témoignage de « Fritz » Thyssen rédigé en 1941 n’avait jusqu’ici jamais été publié en France. Dans ce document controversé, Thyssen raconte comment il a été séduit par Hitler dès 1923. Il le pense alors capable de redresser l’économie allemande mise à mal par le traité de Versailles, et va financer le parti nazi au point de devenir l’un des principaux responsables de son ascension. Mais après la « Nuit de cristal » en novembre 1938, Thyssen démissionne du Conseil d’État. Et en 1939, ses critiques de la politique économique du régime, qui subordonne tout au réarmement, lui valent d’être exclu du parti nazi. Ses biens sont confisqués. Thyssen s’enfuit pour la Suisse avant de gagner la France, où il dicte ses Mémoires à un journaliste américain, Emery Reves. Ce proche de Churchill les édite et les publie aux États-Unis à la fin de 1941 sous le titre I paid Hitler. Témoignant de son erreur mais aussi de celles des autres grands patrons de l’industrie, le nazi repenti souhaitait alerter le reste du monde sur les dangers de la guerre initiée par le Führer – avant le début des massacres de masse en 1941. Livré par le régime de Vichy aux Allemands, Fritz Thyssen est incarcéré au camp de Sachsenhausen. À la dénazification, il reconnaît son implication dans la montée du nazisme et est condamné à verser une indemnité aux victimes de la guerre. Il émigre à Buenos Aires en 1950 où il finira ses jours.
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J'avais huit ans dans le ghetto de Varsovie
- Régine Frydman
- 2011, Tallandier
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Régine Frydman est une enfant du ghetto de Varsovie qui a, par miracle, échappé à la mort. Elle a huit ans en 1940 quand les Allemands décident d’enfermer 450 000 Juifs dans une enclave de cinq hectares, où ils vont être parqués et broyés à mort en l’espace de trois ans. Régine n’aurait pas survécu si son père Abram Apelkir n’avait pas bravé le danger, risqué sa vie en sortant du ghetto pour trouver de la nourriture, caché sa famille chez des amis polonais en plein centre-ville et à la campagne, et même chez des religieuses. Régine Frydman mêle son récit à celui de son père. À deux, ils livrent un témoignage bouleversant des terribles événements dont ils ont été les témoins, les cadavres qui s’entassent sur les trottoirs, les descentes éclairs de la police allemande, les fusillades dans la rue, les enfants qui se battent pour un quignon de pain, les marches dans la neige pour échapper aux rafles et à la déportation, et enfin la joie de retrouver la liberté grâce aux troupes russes. Un document rare.
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