Seconde Guerre mondiale - Études

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1937-1947 : la guerre-monde, I
- Robert Frank and Alya Aglan
- 2015, Gallimard
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Une cinquantaine d’historiens, philosophes et spécialistes des sciences politiques, de génération et nationalité variées restituent la « guerre-monde » avec une triple ambition : montrer que la guerre s’est étendue au monde entier, notamment à l’Afrique et à l’Asie ; que ce processus de mondialisation a modifié les catégories et les représentations de l’espace et du temps ; qu’elle fut enfin, on le découvre toujours plus, un monde en soi : les évidences du temps de paix n’avaient plus cours ; les mots changeaient de sens, contaminés par les propagandes ; la division sexuée du travail fut bouleversée ; des technologies civiles ou des produits chimiques furent suscités par les industries de la mort donnée ; des dominations coloniales furent ébranlées à jamais ; sans oublier les expériences ordinaires ou esthétiques : vivre la nuit, écouter de la musique pour ne pas entendre les bombes ni les paroles de l’occupant, raviver des vieux chants qui de ce seul fait devenaient patriotiques, pour ne rien dire de la récitation d’un poème appris à l’école et qui devenait, dans un baraquement, la sublime prière de ceux qui accompagnaient les mourants. Oui, la guerre fut un monde, préparée bien avant les événements européens de l’invasion nazie de la Pologne le 1er septembre 1939, enclenchée dès 1931 en Mandchourie, en 1935 en Éthiopie, et surtout, plus massivement, en Chine à partir de 1937. La sortie de guerre se prolonge au-delà de son terme officiel, le 2 septembre 1945, jusqu’aux traités de paix de février 1947 conclus avec quelques-uns seulement des vaincus – car alors s’impose l’évidence de la guerre froide entre les deux nouveaux géants, les États-Unis et l’URSS.
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1937-1947. La guerre-monde, II
- Robert Frank and Alya Aglan
- 2015, Gallimard
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Quatre parties : « Faire la guerre », ou la manière politico-militaire de concevoir et de mener les opérations ; « Inventer la guerre », ou les formes inédites que revêtirent les manières de faire la guerre idéologico-militaire, que ce soit le génocide des juifs ou le déchaînement de violences inouïes faites aux civils sur le front de l’Est ; « Vivre la guerre », ou les manières d’habiter le monde, quand celle-ci fait perdre toute évidence aux expériences les plus ordinaires de la quotidienneté ; « Hériter de la guerre », quand le système international se décolonise, se dote de nouvelles structures financières et monétaires, mais aussi philosophiques et juridiques (droits de l’homme et définition des crimes contre l’humanité). Une histoire qui restitue de l’intérieur, au niveau où ils sont vécus, les événements qui « embarquent » individualités et collectivités sur tous les fronts, sur tous les lieux de souffrance, de collaboration et de résistance : des plaines russes à la jungle de Birmanie, du désert de Libye à la mer de Corail, de la bataille de l’Atlantique à la guerre du Pacifique, de Monte Cassino à Iwo Jima, du gouvernement de Vichy au gouvernement indien pro-japonais de Singapour, des maquis du Vercors et de Yougoslavie à la guerre des partisans sur le fleuve Jaune, du Fezzan à la Normandie, de Koursk à Berlin, des massacres de Nankin au génocide d’Auschwitz, des bombes sur Coventry, Londres et Dresde au feu nucléaire sur Hiroshima et Nagasaki. Une dilatation des temps et des espaces qui permet une histoire globale de la guerre de 1937-1947, la seule guerre-monde que l’humanité ait faite, inventée, vécue et surmontée.
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1939, L'alliance de la dernière chance
- Michael J. Carley
- 2001, PU Montréal
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Au moment où l'Allemagne nazie prépare la guerre, les négociations entre la France, la Grande-Bretagne et l'URSS constituent la dernière chance de stopper l'agression hitlérienne. Pourtant, les gouvernements français et britannique se traînent les pieds. Finalement, les pourparlers entre les trois pays échouent et en août 1939, l'URSS signe un pacte de non-agression avec l'Allemagne. Le récit poignant que fait Michael Carley de ces négociations souvent secrètes n'est pas une belle histoire. La narration fascinante d'un jeu diplomatique très complexe, mettant en scène des personnalités souvent troublantes, repose sur des recherches de longue haleine menées par l'auteur dans les archives françaises, britanniques et soviétiques, accessibles au public depuis peu. En faisant de 1939 un moment fort de la guerre froide déjà amorcée après la Révolution bolchevique de 1917 et en montrant comment l'anticommunisme fut la cause majeure de l'échec de l'alliance contre Hitler, Michael Carley remet en cause les interprétations généralement admises sur les origines de la Seconde Guerre mondiale.
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1940, Un autre 11 novembre
- Maxime Tandonnet
- 2009, Tallandier
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À la veille du 11 novembre 1940, les autorités d’occupation déclarent « prohibée sous toutes ses formes l’expression d’un souvenir insultant pour le Reich et attentatoire à l’honneur de la Wehrmacht ». À la Sorbonne et dans les lycées parisiens, cet ordre suscite une vague d’indignation. Initié par un petit groupe d’étudiants du Quartier latin, l’appel à un rassemblement patriotique se propage comme une traînée de poudre dans les établissements scolaires et universitaires. Le 11 novembre 1940, trois mille jeunes filles et garçons remontent les Champs-Élysées, se rassemblent devant l’Arc de triomphe pour commémorer la Victoire de 1918 et entonnent La Marseillaise, défiant ainsi l’armée d’occupation d’Hitler. L’intervention de la Wehrmacht et la répression qui s’ensuit sont impitoyables : quinze blessés, un millier d’interpellations, cent vingt-trois arrestations, surtout de jeunes lycéens emprisonnés et martyrisés. Cet acte de résistance constitue, au dire même du général de Gaulle, la première réponse de la France à l’appel du 18 juin. De fait, les conséquences furent considérables, marquant la rupture entre le régime de Vichy et une partie de l’opinion publique, qui tourna désormais ses espoirs vers la France libre. Cet événement, qui aurait dû entrer dans la légende nationale, a quasiment sombré dans l’oubli. Il est temps de le redécouvrir.
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Adolf Eichmann
- David Cesarani
- 2010, Tallandier
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Adolf Eichmann est l’un des dignitaires nazis les plus tristement célèbres. Cette renommée, il la doit en partie à la médiatisation de son procès et au portrait brossé par Hannah Arendt. Incarnation de la « banalité du mal », il organisa, de 1941 à 1945, la déportation de masse et l’extermination des Juifs d’Europe. Méticuleux, assis à son bureau, il fut au cœur du génocide nazi. Méconnu des chasseurs de nazis au sortir de la guerre, il parvint à fuir en Argentine en 1950. II y mena une vie paisible, jusqu’au mois de mai 1960 lorsqu’il fut enlevé par des agents du Mossad et amené en Israël. Évènement majeur de l’après-guerre, le « procès Eichmann », qui s’ouvrit à Jérusalem le 11 avril 1961, fut retransmis par de nombreuses chaînes de télévision à travers le monde. Eichmann fut pendu le 31 mai 1962. Dans cette biographie magistrale, la première depuis quarante ans, David Cesarani se penche sur la carrière d’Eichmann et s’interroge sur ce qui a pu conduire cet homme ordinaire à devenir un meurtrier de masse. En s’appuyant sur des documents découverts récemment, l’auteur bouscule certaines idées reçues et dépasse le préjugé selon lequel il aurait été « maléfique », « fou » ou bien un simple rouage de la machine de mort nazie. Avec brio et clarté, Cesarani explique comment Eichmann est progressivement devenu l’« expert » en questions juives et a été le complice de l’assassinat de millions de personnes.
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Afrikakorps
- Benoît Rondeau
- 2013, Tallandier
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La légende de l’Afrikakorps et du maréchal Erwin Rommel est née dans le désert libyen. Pendant trois années, de 1941 à 1943, cette force d’élite se bat en Afrique du Nord, où elle acquiert une renommée considérable. Son chef charismatique devient l’objet d’un véritable culte, que met en scène la propagande nazie. Il faut dire que Rommel suscite alors le respect aussi bien de ses soldats que de ses adversaires. Benoît Rondeau retrace, pour la première fois, l’épopée de l’Afrikakorps. À la lumière des recherches les plus récentes, il interroge aussi le mythe de la « guerre sans haine ». Créé en 1941 pour venir en aide aux soldats de Mussolini en Libye, l’Afrikakorps est placé sous le commandement d’Erwin Rommel. Rapidement organisées, les troupes s’adaptent au désert et attaquent les Anglais. Avec ruse et habileté, le « Renard du désert » mène son armée de victoires en victoires (Gazala, Bir Hakeim et la prise de Tobrouk) jusqu’aux portes d’Alexandrie, avant de combattre la 8e armée de Montgomery à El-Alamein. La célèbre bataille est le véritable tournant de la guerre du désert. Malmenée, confrontée à de multiples difficultés, l’armée de Rommel entame alors une incroyable retraite.
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La 206e session en région de l’Institut des hautes études de défense nationale à Nantes et à Brest a choisi Agnès de Nanteuil comme marraine de promotion. Agnès de La Barre de Nanteuil est la seule femme à avoir donné son nom à une promotion d’élèves officiers. Née dans une famille de vieille noblesse normande et parisienne, Agnès de Nanteuil connaît une enfance heureuse à Paris et en Bretagne. Très engagée dans les mouvements de jeunes et l’Action catholique, elle est guide de France puis cheftaine de louveteaux et membre de la Jeunesse étudiante chrétienne féminine. Pendant la guerre, elle s’engage dans la résistance et devient agent de liaison. Dénoncée, arrêtée, torturée, Agnès est déportée par le dernier convoi de Rennes et meurt à Paray-le-Monial des suites d’une blessure reçue pendant le trajet. Dès lors, Agnès de Nanteuil devient un modèle pour de nombreux jeunes par sa personnalité, son charisme et le don sans réserve qu’elle fit de sa vie pour Dieu, son prochain et son pays. Le livre est tour à tour une biographie historique et spirituelle. En annexe, l’auteur publie de larges extraits d’écrits spirituels inédits d’Agnès de Nanteuil qui donnent à l’ouvrage toute sa force et son authenticité.
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Atlas de la Seconde Guerre mondiale
- Christophe Prime and Stéphane Simmonet
- 2015, Autrement
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« Ces champs de bataille aujourd’hui disparus sont encore bien présents dans notre mémoire collective. » Plus de 120 cartes et infographies pour raconter les combats de la France durant la Seconde Guerre mondiale. • Septembre 1939-juin 1940, la « drôle de guerre » aboutit à l’occupation et à l’opposition entre la France de Vichy et la France Libre. • Vichy et Londres, deux capitales pour mener une guerre parfois fratricide sur tous les fronts, de Mers el-Kébir à Bir Hakeim ou Rome. • En métropole, la Résistance contre l’occupant se structure dans la clandestinité et le danger. • Pas à pas, le parcours de la Libération prend corps jusqu’à la remontée fulgurante vers Strasbourg. Une synthèse unique et un outil magnifique qui remet à l’honneur l’action locale des forces résistantes, souvent ignorées et anonymes, une cartographie qui met en lumière un pays déchiré, luttant d’une part contre l’invasion nazie et les troupes de l’Axe, de l’autre contre ses ennemis intérieurs.
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Atlas de la Shoah
- Georges Bensoussan
- 2014, Autrement
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En une centaine de cartes et d’infographies, cet atlas inédit retrace l’histoire de l’une des plus grandes tragédies du XXe siècle, la Shoah. • Les racines intellectuelles du génocide : le rôle joué par la diffusion de l’antisémitisme et du darwinisme racial en Europe au XIXe siècle. • Une approche géographique originale qui met en évidence la concentration spatiale des centres de mise à mort, les accélérations, la concomitance et la coordination des phases du génocide, et qui souligne ainsi son caractère planifié. • Une analyse à différentes échelles : du théâtre mondial à l’épicentre européen, des politiques d’État aux trajectoires individuelles. La cartographie permet une appréhension plus globale de cet événement historique sans précédent. Elle invite à interroger autrement ses origines, sa chronologie, son déploiement géographique et ses conséquences démographiques. « Enracinée dans l’histoire, la destruction des Juifs d’Europe demeure souvent déconnectée de sa géographie. »
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Atlas de la Shoah
- Georges Bensoussan
- 2022, Autrement
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En une centaine de cartes et d’infographies, cet atlas inédit retrace l’histoire de l’une des plus grandes tragédies du XXe siècle, la Shoah. • Les racines intellectuelles du génocide : le rôle joué par la diffusion de l’antisémitisme et du darwinisme racial en Europe au XIXe siècle. • Une approche géographique originale qui met en évidence la concentration spatiale des centres de mise à mort, les accélérations, la concomitance et la coordination des phases du génocide, et qui souligne ainsi son caractère planifié. • Une analyse à différentes échelles : du théâtre mondial à l’épicentre européen, des politiques d’État aux trajectoires individuelles. La cartographie permet une appréhension plus globale de cet événement historique sans précédent. Elle invite à interroger autrement ses origines, sa chronologie, son déploiement géographique et ses conséquences démographiques.
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Au combat
- Jesse Glenn Gray
- 2012, Tallandier
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« C’est le propre des grands livres, dit-on, de faire peu à peu leur chemin, de toucher des générations successives. Au combat est incontestablement de ceux-là. Alors que tant de témoignages ont été publiés sur la Seconde Guerre mondiale, pourquoi ce livre est-il un “grand livre” ? Pourquoi faut-il absolument le lire ? Sans doute, justement, parce qu’il ne s’agit pas d’un simple livre de témoignage, mais d’une tentative de penser la guerre, de penser en temps de guerre, malgré la mort qui rôde, malgré la peur. Pour Jesse Glenn Gray, comme pour la plupart des Américains de sa génération, la Seconde Guerre mondiale fut un rite d’initiation, un moment fondateur. Durant ses quatre années de guerre, Gray n’a pas cessé de consigner ses impressions dans des carnets qu’il portait sur lui : l’expérience des combats, la libération de l’Europe, la dénazification. De sa belle écriture poétique, Gray sait rendre ce qui est au cœur de l’expérience quotidienne d’un soldat : le passage progressif de l’état de civil à celui de combattant, la loyauté à l’égard des compagnons d’armes, la tendance constante à déshumaniser l’ennemi, la blessure morale qui est au cœur des combats, et cette forme d’exaltation que le philosophe explique par la dimension érotique de la guerre. »
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Été 1940. Dans un pays assommé par la débâcle, les premières manifestations du refus de l’occupant s’ébauchent dans Paris, en particulier au musée de l’Homme. Des noyaux de résistance naissent. Par contacts successifs, une nébuleuse rassemblant des groupes divers se développe et se lance dans des actions variées : propagande, évasion, renseignement. Disséminée géographiquement, socialement et idéologiquement variée, cette désobéissance pionnière est rapidement en butte à une répression féroce. Ses principaux chefs de file, le linguiste Boris Vildé et l’anthropologue Anatole Lewitsky, sont jugés et exécutés en février 1942. Comment cette première Résistance s’est-elle structurée ? Quelles ont été les motivations et les profils de ses membres ? La répression a-t-elle irrémédiablement décimé les groupes qu’ils avaient mis sur pied ? Comment enfin l’histoire et la mémoire de ces éphémères constructions se sont-elles articulées de 1942 à nos jours ? Dans ce livre, Julien Blanc présente à la fois l’histoire singulière d’une organisation de Résistance et un essai sur les premières formes de la désobéissance en zone occupée.
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Au cœur de l'IG Farben
- Stephan H. Lindner
- 2010, Les Belles Lettres
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En 1925, les trois principales entreprises de la chimie allemande – BASF, Bayer et Hoechst – se sont regroupées avec quelques autres de moindre importance au sein du conglomérat IG Farbenindustrie AG. Plus que toute autre firme, cette « IG Farben » incarne aujourd’hui, dans la mémoire commune, la compromission de l’industrie allemande dans les crimes du Troisième Reich. Ce livre est une histoire de l’usine chimique de Hoechst près de Francfort-sur-le-Main en tant que composante de l’IG Farben sous le nazisme. Sur la base de vastes recherches dans des archives internes inédites, Stephan H. Lindner interroge les relations entre la direction et son personnel avec le parti national-socialiste et ses organisations satellites. Il porte une attention particulière à la question des marges de manœuvre face à la double tutelle du régime et de la direction centrale du groupe. Comment les dirigeants de l’usine ont-ils réagi à la nouvelle situation politique à partir de 1933 ? La vie et le travail à Hoechst sous le nazisme étaient marqués à la fois par l’adaptation ainsi que par l’exclusion et la répression. Dans quelle mesure l’établissement, sa direction et ses salariés ont-ils été liés au nouveau régime, à ses représentants et organisations ? À quel point ont-ils été impliqués dans ses crimes, voire activement partie prenante de ceux-ci ? Sont ainsi évoqués les plus sombres aspects de l’histoire de l’usine : le sort fait aux salariés juifs ou considérés comme tels, les conditions de travail et d’existence des « travailleurs étrangers » forcés de différentes origines ainsi que l’implication dans des expériences « médicales » sur des détenus de camps de concentration. Cet ouvrage sans complaisance apporte une avancée décisive à la connaissance d’une singularité du monde industriel du Troisième Reich.
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Auschwitz
- Florent Brayard
- 2012, Seuil
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On le sait depuis les procès de Nuremberg : la « solution finale de la question juive » était un secret d’État partagé par les plus hautes élites nazies qui connaissaient pertinemment le sort des Juifs européens déportés à l’Est : la mise à mort systématique, à Auschwitz ou à Treblinka. Si l’on en croit son Journal, néanmoins, Goebbels constituait une exception. Le ministre de la Propagande avait certes été informé du massacre des Juifs soviétiques puis polonais. Pour autant, il crut pendant longtemps que les Juifs déportés depuis l’Allemagne étaient concentrés à l’Est dans des ghettos, en attendant une future transplantation. Or ils étaient assassinés. Intime de Hitler et figure majeure du régime, Goebbels était-il le seul à ne pas savoir ? S’appuyant sur une très large documentation, Florent Brayard fait dans cette enquête le pari inverse : la singularité du cas Goebbels invite en réalité à repenser le secret qui entoura Auschwitz. Car les archives révèlent de nombreuses anomalies, passées souvent inaperçues, qui montrent que la « solution finale » fut durablement présentée au sein de l’appareil d’État comme une simple transplantation. De fait, même dans le Reich nazi, le meurtre de tous les Juifs européens constituait un acte hautement transgressif, que Hitler et Himmler avaient préféré cacher – autrement dit, un complot. La conférence de Wannsee en janvier 1942 ne fut donc pas le moment où ce meurtre systématique avait été révélé : il fallut pour cela attendre octobre 1943 et les fameux discours de Himmler à Posen. De l’aveu même de l’orateur, tout, ou presque, était alors achevé.
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Auschwitz
- [Léon Poliakov , Léon Poliakov]
- 1973, Gallimard
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Les tonnes d’archives centralisées vingt ans après par le Centre de documentation juive à Paris – notes de services S.S., plans secrets des nazis, témoignages des survivants – permettent à Léon Poliakov de présenter ici, pour la première fois, la vie de chaque jour dans ce haut lieu du génocide. Voici comment fonctionnait l’industrie de la mort. Date de première édition : 1964.
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Auschwitz est comme un trou dans notre histoire, au-delà même d’une tragédie, si l’on donne à ce terme les connotations nobles et élevées qu’on lui associe d’ordinaire. Dès lors, la question, pour nous tous, est de savoir dans quel espace nous pouvons vivre si nous acceptons d’ « habiter cette catastrophe », si, au lieu de vouloir l’intégrer dans un ordre quelconque en essayant d’en tirer des leçons, nous la vivons comme indépassable. Ce livre passe en revue les catégories devenues classiques pour analyser la Shoah : génocide, banalité du mal, devoir de mémoire... Il les critique toutes. Il ne les refuse pas, mais s’efforce, respectueusement, d’en montrer les limites. Par sa seule existence, la Shoah récuse d’une manière abyssale nombre de présupposés de la tradition philosophique et politique occidentale : par exemple la représentation de l’homme comme « animal raisonnable » et l’opposition entre cette rationalité et des passions qu’il faudrait dompter. Elle nous oblige à reconsidérer l’histoire de l’Occident, et à repenser l’homme. Si le sol de nos certitudes est ainsi ébranlé d’une manière décisive, dans quelle « maison » pouvons-nous vivre désormais ? Fabrice Midal nous fait entendre la parole de Nelly Sachs et de Paul Celan : la « cabane » dans laquelle nous séjournerons ne pourra plus annuler notre exil.
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Bréviaire de la haine
- [Léon Poliakov , Léon Poliakov]
- 2017, Les Belles Lettres
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Le thème de cet ouvrage fortement documenté est la lutte sans merci déclarée par l’hitlérisme aux Juifs d’Europe. Grâce aux recherches poursuivies pendant cinq années en Allemagne même, grâce à l’examen des différentes archives du IIIe Reich et à de nombreuses interviews, cet ouvrage fondateur fut l’un des premiers à présenter une étude objective des techniques homicides nazies, en faisant témoigner, autant qu’il était possible, les bourreaux eux-mêmes ou les documents qu’ils ont laissés. Publié en 1951, dans la collection « Liberté de l’esprit » dirigée par Raymond Aron, le Bréviaire de la haine fut préfacé par François Mauriac, et régulièrement remis à jour par son auteur au fil des rééditions. Ce livre resté un classique de l’historiographie nazie conserve aujourd’hui toute sa pertinence.
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Camps d'étrangers
- Grégory Tuban
- 2018, Nouveau Monde
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Au début de l’année 1939, la guerre d’Espagne touche à sa fin. Après la rupture du front de Catalogne, près d’un demi-million de réfugiés venus d’Espagne entrent en France par les Pyrénées-Orientales en à peine deux semaines. Ils sont officiers et soldats de l’armée républicaine, brigadistes, paysans, ouvriers, intellectuels et artistes, espagnols ou internationaux. À leur arrivée, ils sont placés dans des camps du sud de la France où ils sont identifiés et comptabilisés par les services de la Sûreté nationale. Derrière les barbelés de la plage à Argelès-sur-Mer, au camp disciplinaire « spécial » de Collioure, dans les baraques du camp du Vernet, s’entassent les réfugiés de cet exode massif que l’on appelle la Retirada. Ils sont les premiers étrangers à subir collectivement des mesures coercitives de contrôle, d’internement et d’exclusion. Ils sont les « indésirables ». Cet ouvrage analyse le rôle trop peu connu de la IIIe République et des services de police dans l’établissement et le maintien des camps, qui seront repris par le régime de Vichy. Grâce à des archives inédites, l’auteur retrace et détaille le parcours de nombre de ces réfugiés, ces « Espagnols rouges » dont plus de 10 000 furent déportés en Allemagne.
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Commandant Kieffer
- Stéphane Simonnet
- 2012, Tallandier
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6 juin 1944. On l’oublie trop souvent, cent soixante-dix-sept jeunes volontaires, avec à leur tête le commandant Kieffer, sont les premiers et les seuls français à fouler les plages de Normandie. Rattachés à la première brigade spéciale britannique, ses hommes entraînés durement depuis des mois en Grande-Bretagne s’emparent du casino et du port d’Ouistreham. Ces « Frenchies » font la jonction avec les parachutistes britanniques à Pegasus Bridge, fait d’armes immortalisé par le film Le Jour le plus long. Si cette troupe de choc est célèbre, on connaît moins l’homme qui lui a donné son nom. Rien ne le prédestine à devenir militaire à 42 ans. Né à Port-au-Prince à Haïti, de père alsacien et de mère haïtienne, il est banquier, marié et a deux enfants. Le 1er juillet 1940, il rejoint les forces navales françaises libres en Angleterre. Sa vie bascule. Il y découvre les méthodes et les succès des commandos britanniques. Dès le printemps 1942, il rassemble sous ses ordres une vingtaine de volontaires dans les environs de Portsmouth pour fonder une unité française. Loin de la légende, on découvre, à travers un récit haletant, la trajectoire incroyable d’un « civil en uniforme », militaire atypique, un brin marginal, et véritable héros du D-Day. « Jamais il ne réclama de ses hommes quelque chose qu’il n’eût pu accomplir lui-même, et on l’aimait pour cela. » Cornelius Ryan.
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Condor
- Hussein Gaafar
- 2009, Nouveau Monde
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Voici les Mémoires d'un des espions les plus surprenants de l'histoire. Hussein Gaafar (alias John Eppler), fils d'une Allemande et d'un Égyptien, illustre à merveille les liaisons sulfureuses entre nationalistes arabes et nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Recruté en 1937 par l'Abwehr, il parcourt la Turquie, l'Iran, l'Afghanistan et l'Égypte, et devient l'agent de Berlin pour le Moyen-Orient. Parmi ses nombreuses missions, il infiltre les services secrets britanniques sous l'uniforme anglais, accompagne le grand mufti de Jérusalem auprès d’Hitler, et travaille avec un jeune officier du nom d'Anouar el-Sadate. Son principal fait d'armes est son ultime mission d'espionnage pour le compte de Rommel, sous le nom de code « Condor ». Au printemps 1942, l'Afrika Korps semble en mesure de battre la 8e armée britannique et de s'emparer du Caire. Gaafar, muni d'un émetteur-radio, s'installe dans la capitale égyptienne et informe Rommel des mouvements de l'armée anglaise. Mais, une monumentale erreur de l'Abwehr met en péril sa mission... Ces Mémoires à l'indiscutable parfum romanesque sont aussi un document de première main sur le fonctionnement des services secrets allemands et l'alliance entre nazis et dignitaires musulmans. Date de première édition : 1974.
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