Études cinématographiques

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- Nouveau Monde [54] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/nouveau-monde
- Playlist Society [27] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/playlist-society
- Les Impressions Nouvelles [26] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/les-impressions-nouvelles
- Klincksieck [23] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/klincksieck
- AFRHC [16] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/afrhc
- Armand Colin [12] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/armand-colin
- Flammarion [11] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/flammarion
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- G3J [8] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/g3j
- Éditions du Rocher [5] http://purl.org/dc/terms/isPartOf http://hp.metastore.ingenta.com/content/publisher/editions-du-rocher
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Cinémiracles, l’émerveillement religieux à l’écran
- Timothée Gérardin
- 2020, Playlist Society
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Dès la naissance du cinéma et le court-métrage Le Christ marchant sur les flots de Georges Méliès (1899), les cinéastes se sont emparés des sujets religieux, et plus spécifiquement de la question des miracles. Dans de grandes fresques hollywoodiennes, telles que Les Dix Commandements (Cecil B. DeMille, 1956) ou Ben-Hur (William Wyler, 1959), le miracle constitue l’apothéose qui associe la sidération des spectateurs à un émerveillement religieux. D’Ordet (Carl Theodor Dreyer, 1955) à L’Apparition (Xavier Giannoli, 2018) en passant par Bruce tout-puissant (Tom Shadyac, 2003), le phénomène miraculeux a connu une multiplicité d’évocations, au cinéma et dans les séries. C’est à chaque fois une expérience-limite qui fait s’opposer l’invisible et le visible, la folie et la raison, le bien et le mal. Par la mise en scène, le miracle peut être sublimé, dénoncé comme supercherie, ou au contraire trouver une dimension nouvelle. Cinémiracles, l’émerveillement religieux à l’écran explore les modes de représentation du miracle, au croisement des questions esthétiques et spirituelles.
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Clint Fucking Eastwood
- Stéphane BOUQUET
- 2013, Capricci
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Stéphane Bouquet parcourt les vingt dernières années de l’œuvre, d’Impitoyable (1992) à J. Edgar (2012), et cherche à comprendre les causes de cette réputation, étant entendu que la qualité des films ne saurait suffire à l’expliquer. Il propose le portrait à la fois admiratif et acerbe d’un artiste américain qui a produit une série inlassable d’auto-portraits et fini par devenir, pour beaucoup de spectateurs français, le rêve américain en soi. Ou ce qu’il en reste.
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Cocteau-Marais
- Bernard Spindler
- 2011, Éditions du Rocher
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« Je m’évite comme la peste, soupirait Cocteau. Si j’ai quitté Paris pour la Côte, c’est qu’il n’y avait pas de place pour nous deux... » La côte méditerranéenne. Le cap des Soupirs. Ce sera donc son théâtre, son écritoire, son chant d’amour et sa montée des marches. Le poète y épousera la mer et vendangera les dernières années de cette tendre amitié qui unit son étrange destin à celui de Jean Marais. Marais, l’enfant terrible... « Je regrette amèrement de n’avoir pas consacré toute mon existence à servir Jean Cocteau au lieu de me préoccuper de ma carrière et d’aspirer à des succès éphémères » confiera-t-il. Cocteau et Marais, Jean et Jeannot, la pureté d’une amitié inédite, résistant aux attaques du temps... « Puisque je ne m’aime pas, persiste Cocteau, il faut bien vivre avec des gens qui m’aiment... » Réalisée à partir de documents d’archives et de souvenirs personnels, enrichie d’une iconographie inédite, cette biographie retrace la relation fascinante de deux êtres d’exception qui ont marqué de manière indélébile l’art, le cinéma, le théâtre et la littérature. À leurs côtés, le lecteur plonge dans une époque foisonnante et rencontre, au fil des pages, de nombreuses personnalités : Chanel, Picasso, Satie, Moretti, Apollinaire, Diaghilev, et tant d’autres...
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Ses films à petit budget ont rapporté des millions de dollars. Il a mis au point les gadgets publicitaires les plus farfelus pour attirer le public. Il a produit Rosemary’s Baby, influencé de nombreux cinéastes et inspiré un film à Joe Dante. Réalisateur de séries B et touche-à-tout boulimique, William Castle (1914-1977) est l’un des maîtres du cinéma d’horreur et d’épouvante.Dans ce livre, il raconte son étonnant parcours à Hollywood et évoque avec humour les grandes rencontres qui ont marqué sa vie : Orson Welles, Harry Cohn, Vincent Price, Joan Crawford, le mime Marceau, Roman Polanski...
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Comment le parlant a sauvé le cinéma français
- Jacques Choukroun
- 2008, AFRHC
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À la fin des années 1920, le marché français est largement dominé par le cinéma américain. Le succès des films parlants, fondé sur la popularité des acteurs français, relance l'industrie du cinéma. Le parlant constitue une nouvelle chance pour le cinéma français. Après le départ de leurs fondateurs, les sociétés Pathé et Gaumont tentent d'adapter en France le modèle hollywoodien de la compagnie intégrée de cinéma. Mais l'amortissement des investissements effectués pour l'adaptation au parlant et la rénovation des salles s'avère difficile au moment de la baisse des recettes de 1933-1934 : la Gaumont-Franco-Film-Aubert est mise en liquidation judiciaire en 1934 et Pathé-Cinéma en faillite en 1936. L'échec de l'aventure de ces grandes compagnies provoque la première grande réflexion politique sur le statut du cinéma en France avec les rapports Petsche et de Carmoy. Entre 1934 et 1939 s'élabore peu à peu un « modèle français » de cinématographie qui accorde à l’État un rôle d'encadrement et de soutien aux petites entreprises. Malgré les polémiques, les mesures protectionnistes restent modestes. En 1939, le rôle nouveau de l'État s'affirme avec le décret sur le contrôle des recettes. La comptabilité de nombreuses salles, l'étude du fonctionnement des studios, des devis, des budgets de films et des contrats de distribution permettent de décrire l'évolution des différents stades de la filière cinématographique –production, distribution et exploitation – à partir de documents d'archives publiques et privées. Cette analyse confirme le caractère limité, tant en ampleur qu'en durée, de la crise en France. Pourtant, celle-ci a suffi à déséquilibrer les grandes compagnies.
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Comédie, mode d'emploi
- Judd APATOW and Emmanuel BURDEAU
- 2013, Capricci
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En janvier 2010, Judd Apatow a accordé une série d’entretiens à Emmanuel Burdeau, ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma. Judd Apatow décrit en détails son itinéraire et la totalité de son travail d’auteur-producteur, depuis les débuts dans le stand-up à la douzaine de succès qu’il a produits, écrits ou réalisés, de Freaks & Geeks à 40 ans toujours puceau, En cloque, mode d’emploi ou Supergrave, jusqu’à la sortie récente de Funny People. Ce livre est une première. Jamais Apatow ne s’était exprimé aussi longuement. De Steve Martin à Garry Shandling, de Lenny Bruce à Seth Rogen, il dévoile un pan essentiel de la tradition comique américaine. Comédie, mode d’emploi est l’histoire d’un homme et de sa passion pour la comédie. Il est aussi, à sa manière, une histoire drôle. Comment écrit-on des blagues ? Quel est le bonheur et le travail de faire rire ? Précédé d’une Introduction à la vie comique, par E. Burdeau.
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Conférences Litter
- Michæl Lucey, David Halperin and Leo Bersani
- 2005, Epel
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Trois auteurs se retrouvent successivement à Strasbourg, sollicités par la même question : comment certains artistes ont-ils traité de la transformation des corps ? De là ces trois conférences qui touchent à des points fort divers de la culture contemporaine : aussi bien le Balzac de La fille aux yeux d’or et de Sarrasine (Michael Lucey), que le film culte Mildred Pierce de Michael Curtiz (David Halperin), ou Tout sur ma mère d‘Almodovar (Leo Bersani). En analysant ces œuvres jusque dans leur détail, chaque conférencier parcourt la jointure entre érotique et subjectivité, montrant à quel point elle constitue un des plus puissants leviers de la création artistique.
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Correspondance (1918-1955)
- Abel Gance, Charles Pathé and Kevin Brownlow
- 2021, Gallimard
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Ces 210 lettres inédites nous mettent face à deux personnages de l’histoire du cinéma, que tout paraît opposer : Abel Gance est un metteur en scène pour qui l’expression "septième art" semble inventée, Charles Pathé est un industriel soucieux de réunir le grand public. Leurs âges (Charles Pathé est de vingt-six ans l’aîné), leurs métiers et façons de faire des films sont a priori différents. C’est pourtant cette opposition, nourrie d’espérance, de partage, de fidélité, parfois de désillusion et de colère, qui fait la singularité et la richesse de leur relation – entretenue durant près de quarante ans. Leurs échanges débutent à la fin de la Première Guerre mondiale, alors que l’hégémonie du cinéma français est fortement ébranlée par l’extension des studios américains. En 1918, Abel Gance, fort du succès de ses premières réalisations, commence à être reconnu par ses pairs. Charles Pathé est quant à lui un industriel renommé, mais sa multinationale, créée en 1896, a essuyé d’importantes pertes de marchés. Tandis que l’un est au début de sa carrière, l’autre cherche le moyen de conserver sa place. Cependant, les vues de l’industriel et du cinéaste ne sont pas si éloignées. Charles Pathé trouve en Gance un auteur qui lui permettra de poursuivre ses réflexions et même de les appliquer. Quant au metteur en scène, chef de file de l’avant-garde française, il n’oppose pas création et cinéma commercial et s’appuie sur celui-ci pour trouver des capitaux. De J’accuse (1919) à La Roue (1923) puis Napoléon (1927), les projets naissent et s’accomplissent avec ferveur. Mais les réalisations pharaoniques de Gance, en pleine crise du cinéma, ne sont pas sans créer de frictions. Les ressentiments éclatent quand l’heure des comptes arrive. Le passage au cinéma sonore, marquant la fin de la démiurgie de Gance ainsi que le retrait des affaires de Charles Pathé, laisse place aux écrits mélancoliques. C’est dans l’expression mouvante de leur sensibilité et de leur pensée du cinéma que cette correspondance, miroir des enjeux de son temps, prend tout son intérêt.
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Salvador Dalí compte parmi les artistes les plus illustres et les plus reconnus du XXe siècle. Dans l’imaginaire populaire, son style personnel flamboyant a fait de lui un véritable homme de spectacle. Cet ouvrage constitue la première étude approfondie du rôle clé joué par le cinéma dans son art, ainsi que de l’implication de Dalí dans divers projets cinématographiques. Dalí Cinema présente à la fois les principales peintures qui reflètent son intérêt pour le septième art et les grands projets cinématographiques auxquels il a collaboré.Le cinéma a permis à Dalí d’appréhender le pouvoir et les différentes utilisations de l’illusion. En 1929 et 1930, il collabore avec Luis Buñuel sur Un Chien andalou et L’Âge d’or, deux films aussi remarquables que controversés. Des années plus tard, Dalí travaille à Hollywood, aux studios Disney, puis avec Alfred Hitchcock. Pour ce dernier, il conçoit une séquence décrivant un rêve destinée au thriller psychologique La Maison du docteur Edwardes (Spellbound), qui demeure l’une des plus innovantes du cinéma. Au fil des ans, Dalí en vient à rejeter ce qu’il considère comme l’élitisme du film moderniste pour se tourner vers un cinéma plus populaire susceptible de faire connaître son œuvre au plus grand nombre.Cet ouvrage révèle la fascination profonde et constante de Dalí pour le cinéma, tout en donnant une nouvelle dimension à l’un des grands maîtres de l’art du XXe siècle.
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Dark Vador
- Dick TOMASOVIC and Björn-Olav DOZO
- 2021, Les Impressions Nouvelles
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DARK VADOR, Chevalier Jedi et Seigneur Sith, est le personnage central de la célèbre saga cinématographique Star Wars, développée par George Lucas dès 1977. Son apparence effrayante, son charisme intimidant et son terrible destin en ont fait l'une des plus grandes icônes de la culture populaire et l'incarnation du Mal absolu. Mais l'intérêt de la figure réside peut-être davantage dans ses ambivalences. Pour le comprendre, il faut croiser les regards sociologiques et esthétiques, politiques et poétiques, qui permettront de suivre tant le processus de radicalisation spirituelle du personnage que sa métamorphose physique. Dark Vador est un autre Prométhée moderne, une autre créature de Frankenstein, qui transgresse les limites humaines, les lois naturelles et les principes divins. Du jeune et impétueux Anakin Skywalker, dévoré par une colère romantique, au cyborg terrifiant en quête de rédemption, Dark Vador est l'un de nos grands mythes modernes qui raconte autant nos phobies que nos fantasmes contemporains. Car qui n'a jamais été tenté par le côté obscur ?
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David Fincher ou l'heure numérique
- Guillaume ORIGNAC
- 2014, Capricci
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Le premier grand succès public de David Fincher date de 1996 : Seven. Trois ans plus tard, Fight Club fait scandale et devient culte. En 2007, les deux heures et demi sans résolution de Zodiac changent la donne : Fincher s'est apaisé, il prend désormais son temps. Suivront L'Étrange Histoire de Benjamin Button (2009), The Social Network (2010) et Millenium, Les Hommes qui n'aiment pas les femmes (2012). Autant de films racontant la même histoire d'hommes perdus dans une tempête de signes et se demandant comment les interpréter et les maîtriser. En plus de quinze ans, le statut du jeune cinéaste américain a donc changé : le faiseur est devenu un maître, le réalisateur de clips et de publicités un cinéaste comptant parmi les plus respectés de l'industrie et les plus admirés des cinéphiles, ayant encore élargi son audience grâce à la série à succès House of Cards. Son obsession est toutefois restée la même : reformuler pour notre époque les obsessions et les paranoïas propres au Nouvel Hollywood des années 1970 ; montrer les puissances et les cauchemars d’un monde toujours plus livré aux forces du numérique ; être à la fois un réformateur et un pionnier. C'est donc la continuité et la nouveauté d’une œuvre que met en valeur cet essai, alors que sort en salles le nouveau film événement de David Fincher, Gone Girl.
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De Caligari à Hitler
- Siegfried Kracauer
- 2019, Klincksieck
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De Caligari à Hitler : ce titre célèbre caractérise en un significatif raccourci la période la plus riche de l’histoire du septième art allemand. En 1919, Le Cabinet du Dr Caligari ouvrait, en effet, l’ère de l’« écran démoniaque » et en 1933 Hitler brisait net le sonore. Entre ces deux dates, l’expressionnisme témoigna des tourments de l’âme germanique tandis que le réalisme analysait une société en crise. Rarement le cinéma fut plus profondément enraciné dans la vie culturelle, politique et sociale d’un peuple. Siegfried Kracauer devint en 1920 le critique cinématographique de la Frankfurter Zeitung et il y demeura jusqu’en 1933. C’est dire qu’il a suivi pas à pas le développement du cinéma dans son pays. Théoricien de l’esthétique, historien, philosophe, il entreprend d’étudier la propagande et les films nazis lorsqu’il arrive aux États-Unis, ce qui le conduit à remonter le courant et à écrire une étude psychologique fouillée qu’il publie en 1947 : From Caligari to Hitler. Ce texte, le premier qui utilise en cette matière les conquêtes du marxisme liées à celles de la psychanalyse, montre que le septième art, mieux que tout autre moyen d’expression, révèle dans sa vérité complexe la mentalité d’une nation. Immédiatement, ce livre monumental s’imposa comme un classique.
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Deleuze au cinéma
- Serge Cardinal
- 2010, PU Laval
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À quoi le philosophe Gilles Deleuze est-il attentif quand il décrit une image, analyse un récit ou fait le portrait d’un personnage ? Quelle valeur accorde-t-il aux couleurs, aux enjeux d’un drame ou aux grimaces d’un acteur ? Pourquoi s’attache-t-il autant aux auteurs, à Resnais, Visconti, Welles, mais aussi à Ingrid Bergman, à Jerry Lewis et à la petite bonne d’Umberto D ? Que penser de sa singulière pratique interdisciplinaire, qui va de la mathématique à la boulangerie ? Peut-on vraiment prendre au sérieux le philosophe lorsqu’il défend une histoire s’apparentant à un classement des animaux ou des plantes ? Et que faut-il comprendre du but qu’il assigne à sa méthode : faire le concept d’une image, c’est en dégager l’événement ? La connaissance de cette méthode doit rendre la philosophie deleuzienne du cinéma assez ordinaire pour que l’apprenti puisse l’explorer en toute confiance et assez vulnérable pour que l’éclairé puisse la détester en toute connaissance de cause, mais, surtout, elle doit entraîner chacun de nous dans l’évaluation de son propre savoir-faire. Tels sont les mille plateaux explorés par cet ouvrage.
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Delphine Seyrig
- Mireille Brangé
- 2018, Nouveau Monde
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Actrice, réalisatrice, femme engagée, Delphine Seyrig (1932-1990) refuse toute sa vie de se laisser enfermer dans un rôle ou une image. S’inventer, se trouver, se réinventer fut sa raison de vivre. Égérie de Resnais, reine du théâtre parisien dans les années soixante, admirée de Truffaut comme de Duras, fée des Lilas de Peau d’âne de Demy ou Jeanne Dielman d’Akerman, Delphine Seyrig a un parcours hors du commun. Au faîte de sa gloire, elle s’engage dans les luttes féministes. Digne d’une héroïne de Stendhal, prête à toutes les aventures, son goût de la liberté, son audace, son refus du tiède, son exigence et son élégance donnent à sa vie tout son romanesque. C’est cette vie riche et inspirante que retrace, pour la première fois, cette biographie passionnante et richement documentée, qui a pour fond la vie sociale, intellectuelle, théâtrale et cinématographique de son époque. Un très beau portrait de femme, par la plume tout en finesse de Mireille Brangé.
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Des sons dans l’espace
- Michel CHION
- 2019, Capricci
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Dans l’espace, au-delà de la mince pellicule d’atmosphère terrestre, il n’y a pas de son ; et y en aurait-il que personne ne resterait vivant pour l’entendre. Que font alors les films qui s’y déroulent, très nombreux jusqu’à First Man de Damien Chazelle, pour respecter ou contourner cette loi scientifique, et ne pas être silencieux ? Ce livre raconte une histoire qui peut sembler anecdotique, mais qui s’entrecroise avec l’histoire de notre vie sur Terre, de nos communications, de notre rapport avec le Cosmos. Il s’agit de parler du cinéma sans le séparer de la vie. Laquelle comporte aussi le mythe, le symbole, et le rêve – dans les fantaisies spatiales héroïques à la George Lucas, certes, mais aussi dans les films « plausibles » et rigoureux, comme 2001, de Kubrick, parmi d’autres.
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Quelles sont les affinités entre Franz Schubert et Ingmar Bergman ? Louis Beethoven, Jean-Luc Godard et les Rolling Stones ? Jean-Pierre Melville et Morton Feldman ? L'Atalante et Franz Liszt ? Jean-Marie Straub et Yves Angelo ? L'enseignement du piano et Andreï Tarkovski ? Au cours d'entretiens réalisés par Marc Chevrie et Jean Narboni, le pianiste Philippe Cassard propose une approche inédite des correspondances entre musique et cinéma. Il commente les partitions écrites pour l'écran, le recours à des compositeurs classiques ou les films montrant des musiciens au travail. Il décrit les timbres uniques de Danielle Darrieux, Gérard Depardieu, Arletty ou Claude Piéplu. Il analyse le tempo et l'écoute propres aux oeuvres de Robert Bresson, Federico Fellini, Charlie Chaplin, Joel et Ethan Coen. Enfin, il évoque l'influence de son amour du cinéma sur sa pratique d'interprète. Plus qu'un livre sur la musique de film, Deux temps trois mouvements est un livre dédié à la musique du cinéma, au cinéma de la musique, aux films que celle-ci permet de construire, de reconstruire ou d'imaginer.
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Dictionnaire Spielberg
- Clément Safra
- 2011, Vendémiaire
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Les héros de Spielberg sont hantés par une douloureuse expérience familiale. Ils essaient, envers et contre tout, à travers leur trajectoire individuelle, de reconstituer ce paradis perdu qu’était l’univers de leur enfance. Ils sont marqués par l’histoire, la grande, celle des guerres mondiales, et, dans cette expérience, confrontés au mal. Ils sont cependant capables de croire à l’invraisemblable, au merveilleux, sensibles dans le quotidien. Ils sont, enfin, terriblement Américains : par leur mode de vie, par leurs références, par leur foi inébranlable dans le triomphe des valeurs collectives et de sacrifice. Autour d’eux, une nature hostile et sublime sert de décor à des drames mis en scène avec une stupéfiante virtuosité. De A comme Avion ou Abandon à Z comme Zoom ou Zemeckis, c’est l’analyse en profondeur de cette œuvre, à travers ses recoupements, ses échos, ses variations sur un même thème, bref ce qui en fait à la fois l’originalité profonde et la nouveauté, que nous livre ce dictionnaire, sans négliger le moindre détail d’une filmographie qui accumule les succès au box-office.
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Dictionnaire de la Nouvelle Vague
- Noël Simsolo
- 2013, Flammarion
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Janvier 1954 : la parution du texte-manifeste de François Truffaut « Une certaine tendance du cinéma français » dans Les Cahiers du cinéma fait l’effet d’une bombe. Il y fustige la « qualité française », et fulmine contre ce cinéma fait d’adaptations littéraires et de mots d’auteur. Rupture dans le scénario, rupture dans le dialogue, dans le son, dans l’éclairage, dans la direction des acteurs, rupture totale avec la tradition de la « qualité française », avec le tournage en studio, avec la pudeur et le bon goût... Les cinéastes de la Nouvelle Vague tournent en extérieur avec du matériel léger autant par goût que par manque de moyens financiers. Jean-Luc Godard ne cessera jamais de rappeler l’importance de la synchronicité entre l’aspiration de sa génération de cinéastes et l’apparition de moyens techniques adéquats... Le Beau Serge et Les Cousins de Claude Chabrol, Les 400 coups de François Truffaut, ou À bout de souffle de Jean-Luc Godard imposent la « Nouvelle Vague » du cinéma français. Une génération entière – plus d’une centaine de réalisateurs, de scénaristes, de comédiens, de techniciens – sera à l’origine du plus important mouvement artistique de l’histoire du cinéma.
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Dictionnaire du cinéma asiatique
- Adrien Gombeaud
- 2008, Nouveau Monde
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De Bombay à Tokyo en passant par Hong Kong, Pyongyang ou Jakarta, de Devdas à In the Mood for Love, ce premier Dictionnaire du cinéma asiatique rassemble les pièces essentielles d'un colossal puzzle : cinéastes, grands studios, comédiens et films de toutes les époques et des quatre coins du continent. On croit connaître l'Asie et son cinéma, mais on ne cesse de découvrir de nouveaux pays, de nouveaux auteurs et même de nouveaux genres. L'Extrême-Orient est décidément une fontaine intarissable : depuis Yasujiro Ozu, Akira Kurosawa ou Satyajit Ray, on a vu apparaître pêle-mêle les visages de Bruce Lee, Takeshi Kitano, Gong Li, Shah Rukh Khan ou Aishwarya Rai... Et il existe encore tant de stars adulées, tant de réalisateurs mythiques dont la gloire n'a pas franchi nos méridiens ! Entre mélodrames coréens, kung-fu hongkongais, érotiques japonais, ballets révolutionnaires chinois, comédies musicales indiennes ou séries B philippines, l'Asie est un monde bien trop vaste pour se laisser cerner. Les auteurs invitent le lecteur à voyager à travers un fascinant labyrinthe oriental, à se perdre dans les rues de Bangkok ou dans les méandres d'un sari, pour dessiner son propre "cinéma asiatique".
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Dictionnaire du cinéma coréen
- Antoine Coppola
- 2021, Nouveau Monde
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Depuis une vingtaine d'années, le cinéma coréen a pris de l'assurance et de l'ampleur partout où il est distribué. Des films comme Old Boy (Park Chan-wook, grand prix 2005 au Festival de Cannes), Deux Sœurs (Kim Jee-woon, 2003), Dernier train pour Busan (Yeon Shang-ho, 2016), ou encore Parasite (Bong Joon-ho, palme d'or 2019) ont modifié notre lecture du cinéma mondial, et ce dans des genres très divers (comédie, horreur, science-fiction, etc.). Cet ouvrage offre un nouveau regard sur ce cinéma étonnant, à travers des notices détaillées de films, de réalisateurs, d'acteurs, mais aussi grâce à des bilans annuels et des études thématiques. Une mine d'informations pour les experts comme pour les néophytes, par un spécialiste et un passionné d’histoire et de culture coréenne.
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